CTRL-Z

Electro bass music

Biographie de CTRL - Z

Enfant des années 80, CTRL-Z a grandi dans une période d’innovations technologiques et informatique qui ont influencé ses compositions artistiques. Plongé dans l’univers des musiques électroniques, il s’inspire de ces courants musicaux et y ajoute d’autres influences très éclectiques tirées de son parcours. 

Son projet musical s’est construit via l’entité CTRL-Z, à la fois diminutif de son propre prénom et rappel de la culture geek. Le projet grandit et mûrit dans sa forme et dans son fond et pousse à une réflexion du dialogue humain et machine. Ses expérimentations technologiques et spirituelles sont ses sources d’inspiration. Se laissant guider par les sonorités qu’il provoque volontairement ou non, il reste attentif à l’imprévu.

La composition permet à l’artiste de s’évader, mixant des lieux réels à des lieux fictifs, lui permettant de naviguer entre plusieurs ambiances. Toutes ces facettes donnent une musique énergique oscillant entre l’ombre et la lumière. L’artiste vagabonde tel un électron instable dans un univers hybride et versatile avec l’intensité pour fil conducteur. 

En complément, CTRL-Z apporte une attention particulière aux visuels faisant de l’image sa marque de fabrique. Là encore les visuels connaissent une évolution au fil des albums. La scénographie de CTRL-Z, c’est donc la fusion de ces deux créations : musique et image en immersion. L’enjeu étant de faire danser le public, en le transportant dans un “cyber univers” aux couleurs ethniques.

Découvrir l’univers de CTRL-Z

Choose your Destiny

Les ressources de la planète s’amenuisent de plus en plus chaque année, tandis que la population humaine est en pleine expansion. L’urgence climatique a sonné, à chacun de prendre ses responsabilités et devenir le héros qui sauvera tous les êtres vivants. Êtes-vous prêt à coexister avec le monde qui vous entoure ou auto-détruire l’humanité ? Allez-vous faire le bon choix ?

“If you want to save the planet, you only have two choices left, love or kill yourself.”

Crédits vidéos : Aaron Benjamin